IA en entreprise : ça se passe maintenant
L’IA est une révolution aussi importante que celle d’Internet il y a 30 ans. Quels sont ses avantages pour l’entreprise et comment la déployer ?
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Arrêts maladie mieux contrôlés, médicaments délivrés à l’unité, lutte renforcée contre les fraudes : la protection sociale évolue en 2024. Tour d’horizon des principales mesures à connaître dans cet article.
Un arrêt de travail prescrit en téléconsultation ne peut plus excéder 3 jours. La téléconsultation ne permet pas non plus de renouveler un arrêt de travail. Deux exceptions sont toutefois prévues :
Les Caisses primaires d’Assurance maladie ainsi que les employeurs peuvent plus facilement contrôler les arrêts de travail. Si le médecin contrôleur, mandaté par l’employeur, estime que l’arrêt maladie du salarié est injustifié, le versement des indemnités journalières peut être suspendu automatiquement. À savoir que les salariés concernés ont la possibilité de formuler un recours devant le service médical.
Désormais, les chiffres d’affaires déclarés par les micro-entrepreneurs sur les plateformes numériques seront transmis aux Urssaf. L’idée est de garantir le paiement correct des cotisations et contributions sociales qui passent par les Urssaf, et ainsi, de renforcer la couverture sociale des travailleurs concernés et assurer une concurrence équitable.
A partir de 2027, les cotisations et contributions sociales des micro-entrepreneurs ne passeront plus par les Urssaf. Elles seront directement prélevées par les plateformes numériques où les micro-entrepreneurs doivent déclarer leurs revenus.
Les sanctions sont renforcées à l’encontre de ces organismes lorsqu’une fraude est avérée. Par ailleurs, comme ces organismes fournissent des services pour lesquels les particuliers peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt, les conditions d’accès et d’utilisation de ce dispositif sont renforcées.
La délivrance des médicaments à l’unité par les pharmaciens d’officine sera généralisée en cas de rupture d’approvisionnement. La mesure ne dure que le temps de la rupture d’approvisionnement. Dans cette situation, c’est aussi possible de limiter ou d’interdire la prescription des médicaments concernés en téléconsultation, en particulier les antibiotiques.
C’est un changement qui n’intervient pas au 1er janvier, mais déjà en place depuis le 1er novembre 2023 : la hausse du tarif des consultations. Une consultation chez un généraliste coûte 26,50 euros et chez un spécialiste 31,50 euros. C’est 1,50 euros de plus que les tarifs appliqués précédemment.
Le développement de la prévention reste une priorité en 2024. Ainsi, plusieurs nouveautés voient le jour :
Sources :
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